Un homme est suspendu à une branche, trop basse pour lui permettre d’échapper à la griffe d’un lion rampant vers lui et qu’il s’efforce de repousser, d’une main après l’autre, pour se maintenir en équilibre.
Un temple, au fronton duquel se lit l’inscription « Notre-Dame de la Miséricorde ». Devant le portail, une femme nimbée comme une Madone, et dont les mains se prolongent en rayons fluidiques, étend les bras dans un geste de protection sur deux groupes, l’un d’amis, l’autre d’ennemis menaçants.
Un homme, la hallebarde à la main, est debout sur une plateforme d’une tour de guet, et un autre apparait derrière une meurtrière, tenant une arbalète.
Un homme d’âge moyen surveille un enfant dans un berceau, tandis que sa femme, sur le pas de la porte, hésite entre rester ou prendre le chemin de la liberté.
Une femme étendue sur un divan tend les mains vers un coffret d’où pendent des colliers, bijoux, et, par une baie ouverte, on voit au dehors, un jeune homme piétiné par un bouc.
Un homme est debout, les mains liées derrière le dos, regardant une maison triste, sur laquelle est inscrit le mot Prison. Mais une herse dressée devant la porte fermée semble le dispenser d’entrer.
Le cabinet d’un savant ou d’un homme de lettres, papiers en désordre et livres déposés partout. Ou Un homme à cheval se cramponnant au cou de sa monture.
D’une caverne dans la montagne, sort un char vide, tiré avec un bruit de tonnerre par trois chevaux trapus, galopant dans la direction de la vallée fertile, où l’on aperçoit un château et des paysans travaillant le domaine.
Deux êtres étranges : l’un tenant un flambeau d’une main, et de l’autre une chouette par la queue, et une femme ayant une figure dans le genre d’un masque et une tignasse de cheveux emmêlés.
Deux hommes se jettent l’un sur l’autre, armés de poignards pour se transpercer mutuellement, tandis que derrière eux s’étale le Livre de la Loi avec balance et gibet.
Un arbre brisé par la foudre est sur le point de tomber sur un homme qui, nonchalamment appuyé sur la parapet d’un pont, regarde le torrent s’écouler en mugissant.
Une fin de partie fine ; les deux convives ont l’air éreintés, les bougies s’éteignent et, à l’extrémité de la table, trois coupes sont placées côté à côte, en triangle.
Sur un mur est dessiné un profil de lévrier. En avant, un homme maniéré joue aux grâces ; et derrière une table se tient un homme maniant des accessoires, dans le genre du Bateleur du Tarot.
Un homme est suspendu à une branche, trop basse pour lui permettre d’échapper à la griffe d’un lion rampant vers lui et qu’il s’efforce de repousser, d’une main après l’autre, pour se maintenir en équilibre.
Un chameau monté par son cavalier avance lentement, ayant dans sa trace une tortue qui marche régulièrement, sans se presser, ses petites pattes bien tirées hors de sa carapace.
Une bêche est fichée dans une pièce de terre et, sous un hangar-forge, on voit un homme qui frappe sur une masse de métal; des objets en fer, pics, roues,etc, sont autour de lui.