Sur la branche d’un arbre mort, un nid, dans lequel de jeunes oisillons crient en voyant un épervier planer au-dessus d’eux; tandis que dans la chaumière voisine on aperçoit un lit sur lequel gît un homme malade.
Un navire au long duquel montent les oriflammes employées par les marins pour connaître la direction du vent, et qui flottent dans des directions diverses, et plus au large, un autre bâtiment qui s’incline sur le flanc.
Un homme en tenue d’escrimeur, mais sans masque, tient à la main une épée nue dont il essaie la souplesse; à terre deux sabres et un gantelet de fer dont sort traîtreusement un poignard.
À un reste de branche d’un gros chêne brisé par la tempête, pend un squelette, et devant lui le Temps armé de sa faux demeure immobile, stupéfait de ce que son geste meurtrier arrive trop tard.
La Lune en son premier quartier, accompagnée d’une étoile; d’un bel arbre fleuri étalant ses branches, sortent un avant-bras et une main qui tient un rouleau de papyrus à demi-développé sous les rayons lunaires.
Une face Lunaire, surmontée par un serpent enroulé. Un homme émergeant d’une brume les regarde, une main levée de leur côté, et l’autre tenant une clé.
Sur la branche d’un arbre mort, un nid, dans lequel de jeunes oisillons crient en voyant un épervier planer au-dessus d’eux; tandis que dans la chaumière voisine on aperçoit un lit sur lequel gît un homme malade.
Un homme nage courageusement dans les flots agités, cherchant à gagner le rivage, dans le sable duquel on voit un triangle renversé, une pointe en bas.
Dans la campagne une jolie femme se promène entre deux hommes; au-dessus d’eux flottent deux cercles d’or liés par un ruban bleu dont les bouts semblent encadrer le groupe.
L’ange du Soleil, Gabriel, frappe la terre de la pointe de son épée, en faisant jaillir des étincelles devant un lion couché, la tête haute, et portant une sorte de harnais somptueux.